13 octobre 2020
Une ombre légère...
Je marchais le long des quais
sans jamais te rencontrer,
pourtant un soir, dans le noir
il m'a semblé t'apercevoir,
Comme une ombre légère
t'enfuir dans les fougères,
puis je t'ai perdu de vue
toi mon rêve entrevu.
Et chaque soir sur les quais
j'espère te retrouver
assise près des fougères
comme une ombre légère.
J'ai beau te chercher,
je suis maintenant découragé
malgré ce fol espoir
que tu as fait naître dans le noir.
Peut-être qu'un soir,
ton reflet dans le miroir
rappellera à ma mémoire
ton ombre comme un espoir...
(Claude Boulloud ISWC : T-702.161.406.4)
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